Vous êtes authentifié. Nous chargeons votre espace membre.
Message d'information
Message d'alerte
Pour des raisons de sécurité et pour continuer à accéder à votre espace membre, nous vous remercions de bien vouloir valider votre compte membre en cliquant sur le lien suivant :
Je valide mon compte membre
Vous allez recevoir un email à l'adresse indiquée lorsque vous aviez créé votre compte.
Cliquez ensuite sur le lien présent dans le mail. Vous pourrez alors de nouveau accéder à votre compte membre.
Si vous n'avez pas reçu cet email,
contactez-nous
Message d'erreur
Message de confirmation
Un email de confirmation vient de vous être adressé.
Le nouveau premier ministre entend résorber le déficit avant de reformer le système. Le 17 juillet dernier, le nouveau gouvernement a confirmé le maintien de la réforme des retraites, tout en indiquant qu’elle serait décalée à début 2021. Le temps pour l’économie de reprendre son souffle après la crise sanitaire. Suite à la crise engendrée par la réforme, l’exécutif a promis aux partenaires sociaux une « nouvelle méthode » basée sur le dialogue et l’écoute.
iStock-Dean Mitchell
Une « pause » nécessaire
Interrogé mi-juillet sur RTL, le ministre de l’économie, Bruno Le Maire, a soutenu la nécessité de la réforme des retraites au moment où les partenaires sociaux refusaient sa mise en place immédiate, dans un contexte économique plus qu’instable. Le patron du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, exprimait début juillet ses réticences concernant le calendrier de la réforme, indiquant que le gouvernement aurait tout intérêt à appuyer sur « pause », le temps que l’économie reparte. « Si on a réussi à sauvegarder l’emploi », précisait-il, « si on n’a pas ce million de chômeurs (supplémentaire) que tout le monde nous promet à la fin de l’année, on pourra repartir ». Le 17 juillet dernier, quelques jours après son entrée en fonction, le premier ministre Jean Castex a finalement proposé aux partenaires sociaux de repousser les négociations sur la réforme des retraites et de reprendre les discussions dans les mois à venir. Le premier ministre a ainsi fait machine arrière, après avoir initialement annoncé vouloir régler le dossier « à court terme ». Il a notamment indiqué qu’une nouvelle méthode serait appliquée, distinguant « le "caractère structurel" de la réforme "qui vise à plus de justice" et son volet financier. »
Un report salué par les syndicats
Les représentants syndicaux sont apparus soulagés, au sortir de la réunion à Matignon. Le leader de la CFDT, Laurent Berger, a salué le fait que « la priorité [était] placée au bon endroit en matière d'objectifs et de calendrier, à savoir l'emploi, l'emploi, l'emploi. » Le président de la CPME, François Asselin, s’est également dit soulagé, précisant que le premier ministre s’était montré rassurant sur certains aspects, dont la nécessaire distinction entre ce qui relève du domaine du conjoncturel et du structurel, dans la mesure où la crise a impacté les schémas d’équilibre financiers.
Quel est le nouveau calendrier de la réforme ?
Jean Castex a précisé aux partenaires sociaux qu'il allait saisir le Conseil d'orientation des retraites, pour obtenir une évaluation de la situation financière des régimes de retraite. Dans sa réforme initiale, le gouvernement proposait de supprimer les 42 régimes de retraite existants au profit d’un système de retraite universel par répartition et par points. Les premières phases du projet initial auraient dû débuter en décembre, avec la mise en place de la gouvernance du futur système. Le projet de loi prévoyait que les travailleurs qui sont actuellement à la retraite ou proches de l’âge légal du départ à la retraite ne seraient pas impactées par les nouvelles dispositions. À l’heure actuelle, le calendrier, ainsi que les modifications au projet de loi initial sont inconnus, dans l’attente de la reprise des concertations.
Le présent article est rédigé par Labsense pour Boursorama. Cet article ne doit en aucun cas s'apparenter à un conseil en investissement ou une recommandation d'acheter, de vendre ou de continuer à détenir un investissement ou un placement. Boursorama ne saurait être tenu responsable d'une décision d'investissement ou de désinvestissement sur la base de cet article.
Bof pour dans 20 ans. Perso j aimerais que soit rétroactif pour les polypensionnés avec Cipav du privé au moins. Ce serait bien car tous les salaires compteraient sans plafond ni proratisation. . Mais je n'y crois pas dommage.
information fournie par Le Particulier•10.05.2025•10:00•
Acheter un bien immobilier sans disposer d’un apport personnel est une démarche souvent jugée difficile, voire impossible. Pourtant, avec une bonne stratégie et un profil solide, il est possible d’obtenir un financement intégral de votre projet immobilier en 2025. ...
Lire la suite
information fournie par Moneyvox•10.05.2025•08:40•
3,5 milliards d'euros : voici le montant investi dans les Sociétés civiles de placement immobilier (SCPI) par les Français en 2024. Mais est-il intéressant de continuer à miser sur ces placements cette année ? Après une année 2024 marquée par la hausse du rendement ...
Lire la suite
information fournie par Boursorama avec LabSense•10.05.2025•08:30•
75, 80 voire 90 et même parfois plus de 100 €… Le contrôle technique a un coût, qui a augmenté d’environ 20 % en 10 ans. Voici nos astuces pour réaliser des économies. Pourquoi le prix du contrôle technique a-t-il augmenté ? En moyenne, le prix du contrôle technique ...
Lire la suite
information fournie par Moneyvox•10.05.2025•08:08•
Une modification de la clause bénéficiaire d'une assurance vie non prise en compte par le gestionnaire du contrat est-elle valable ? Ce qu'en pense la Cour de cassation a récemment changé. Dans un arrêt rendu le 3 avril 2025, la Cour de cassation a changé son fusil ...
Lire la suite
8 commentaires
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ? Connectez-vous
Pas encore membre ? Devenez membre gratuitement
Signaler le commentaire
Fermer